« ... le silence
des femmes concernées par le port du Burkini et le fait qu’elles puissent
accepter que ce soit un homme qui prenne en charge ce sujet… »
Ont-elles le choix ?
Mohammed
al-Ghazali (1058-1111) est présenté par le Bureau international d’éducation de
l’UNESCO, comme un « géant de la pensée, au savoir encyclopédique, (qui) a influé sur la pensée islamique et défini sa
pratique pendant près de neuf siècles. Il représentait « l’islam pacifique ». »
Ce géant de
la pensée a compilé les dix-huit mesures, dispersées dans le Coran, adoptées
par Allah pour punir la femme d’avoir mangé le fruit défendu. Le point 5 est « La privation du contrôle de sa
propre personne ».
Le document
de l’UNESCO poursuit : « Depuis
une trentaine d’années, un nouveau courant, celui de « l’islam combattant », a
vu le jour, s’est développé rapidement et a entrepris de s’imposer dans le
monde islamique … »
Mais pour l’ « Islam combattant », le point 5
est les autres, reste la parole de Dieu, comme elle l’était, il y a une
trentaine d’années et plus pour l’ « Islam pacifique ». Et voilà Marwan Muhammad est habilité à parler « burkini », à la place de femmes « privées du contrôle de leur propre personne ».
L’Islam, ce n’est pas seulement l’interdiction de boire de l’alcool, de manger du pâté Hénaff et de jouer au tiercé. Ça devrait finir par se savoir... A la longue...