Pour Mussolini, il y avait aussi un autre coté, le coté patriotique, c’est ce coté là qui est détesté et même haït par toute la gauche, mais surtout les journalistes, et qui vaut aujourd’hui la qualification de facho, à toute personne aimant et défendant un tout petit peu son pays.
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Les journalistes sont des espèces de grands prêtres pour la gauche, les fonctionnaires le clergé. Libé le monde, leurs bible à eux, si c’est écrit dans libé ou le monde c’est que c’est vrai.
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C’est un autre monde !