Les discussions d’astrophysique contemporaine me font penser aux débats théologiques byzantins sur le sexe des anges (qui étaient aussi très savantes et sérieuses à l’époque). Ce n’est pas inintéressant, mais il est difficile de savoir si cela décrit ce qu’il y a dans l’univers ou si cela décrit le fonctionnement du logiciel interprétatif humain, ou bien si c’est un peu des deux, et à quel moment on passe de l’un à l’autre.