Debord fut avant tout un pilleur de GUNTHER ANDERS et de BOORSTIN. Le terme se spectacle d’ailleurs fut inventé par ANDERS ;"Notre monde actuel est
"postidéologique" : il n’a plus besoin d’idéologie. Ce qui
signifie qu’il est inutile d’arranger après coup de fausses visions du monde,
des visions qui diffèrent du monde, des idéologies, puisque
le cours du monde lui-même est déjà un
spectacle arrangé. Mentir devient
superflu quand le mensonge est devenu vrai. »
(page 224 de l’édition française) et ça : Die
Antiquiertheit des Menschen. Beck, page 195 : „da das
Geschehen der Welt selbst sich eben bereits als arrangiertes Schauspiel abspielt.“
Debord d’ailleurs était conscient de cet état de chose qu’il cacha. Il est bien plus intéressant d’ailleurs de lire ces deux auteurs que Debord lui-même qui réduit leur découverte au gri-gri du "spectacle".
Debord se coucha d’abord devant Gallimard auquel il avait promis qu’il ne bénéficierait plus de ses oeuvres et qui après 1968 leur en assura l’exclusivité.
Si l’on lit la "société du spectacle" on s’aperçoit qu’ à la suite de Marx, Debord fut avant tout un économiste le terme de "critique" étant là pour faire bien.
Pour lui comme pour Marx C’’est l’économie qui règle la vie des sociétés et l’homme avant de réfléchir doit manger et sa refléxion se greffe sur cette necessité autoréalisatrice. http://leuven.pagesperso-orange.fr/3378.htm
Notre pauvre Cousin est encore à la ramasse, il devrait savoir que la critique de Marx et de Debord fut émise au alentour des années soixante dix huit et l’on peut vous en donner un aperçu dans les liens suivant ;"http://leuven.pagesperso-orange.fr/3378.htm