@ Gollum, microf, yoananda,
Selon Jean 8, 1-11 Des pharisiens en colère s’adressèrent à lui pour l’éprouver :
« Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit
d’adultère, la loi de moïse nous dit qu’il faut lapider des femmes comme
elle, maître qu’en penses-tu ? »
Il enseignait en écrivant sur le sol. Comme ils continuaient à
l’interroger, il se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui
n’a jamais fauté jette la première pierre contre elle. » Puis il se
baissa de nouveau et se remit à écrire sur le sol. »
Ce passage de sagesse du nouveaux testament suffit à placer l’enseignement de
Jésus au-dessus de tous les positionnements religieux légalistes et formels confondus.
Il parlait. Ce jour là, exceptionnellement il écrivit et sauva une
femme de la lapidation. Pour ceux qui entendent, sa pédagogie empathique
démontre que l’intelligence du cœur vaut mieux que la loi, l’ordre, la
morale et l’exemple. Il s’agit
cependant de l’expression pure du raisonnement.
Il
domine sur l’injonction légaliste formelle et l’émotivité de notre
nature humaine complexe et contradictoire.
Gollum dénonce les manifestations de masse propres au catholicisme. Celles ci intégrèrent dés le haut moyen âge, toutes les croyances et pratiques dites païennes, d’inspiration germanique archaïque, issu de la communauté de l’être. En partie pour cette raison, le rayonnement de Jésus transpire de la confusion et du chaos imputable à l’humanité. Émergèrent toujours des êtres exceptionnels atypiques qui s’appropriaient merveilleusement ce qui fait l’essence du christianisme.