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medialter medialter 12 octobre 2017 10:26

Agoravox en chute libre d’audience n’aura jamais compris que la publication d’auteurs qui viennent avec des articles éculés jusqu’à la moelle amène son lot de lassitude à mourir. Ici on a l’option supplémentaire, la formule idiote directement issue du cerveau d’une blonde : "la liberté d’expression et ses éventuelles limites". Inutile de faire semblant d’insérer de la consistance, la liberté d’expression est ou n’est pas, il n’y a pas d’intermédiaires, et quand elle n’est pas, le régime à la source se nomme une dictature
*
Pour clore définitivement ce "débat", en espérant qu’il n’y aura pas d’autres illuminé(e)s qui remettront le couvert pour la 1000° fois, en France, on peut s’exprimer sur ce qu’on veut, les recettes de gâteaux au chocolat, les ragots de sa belle mère, les salades organisées des merdias, et même sur les tendances politiques (tant que l’expression reste superficielle, ensuite on n’aime pas bien les humoristes trop lucides), on peut s’exprimer sur tout, sauf sur ce qui touche, de près ou de loin, la théocratie organisée. Edern-Hallier avait résumé ce foutu problème de liberté d’expression en une phrase : "l’état tolère qu’on le critique, pas qu’on l’explique". Il faut être inculte ou complice pour parler de liberté d’expression dans un pays où c’est le politique qui fait l’histoire, et non l’historien. Fin du débat en un paragraphe, le reste c’est de la branlette




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