Dans la même veine, un joli conte de fées new-yorkais, qui n’est pas sans rappeler certains passages d’American Psycho :

 

« Un ancien manager de portefeuilles d’un fonds d’investissement créé par le financier George Soros a abusé sexuellement des femmes, d’après une plainte déposée auprès du tribunal fédéral de Brooklyn.

Howie Rubin, 62 ans, dont les opérations de haut niveau ont été citées dans les livres à succès Liar’s Poker et The Big Short, louait un appartement dans la luxueuse Metropolitan Tower où il s’adonnait à des séances de sexe brutales avec des femmes qu’il payait entre 2000$ et 5000$ par session, d’après la plainte déposée jeudi dernier.

Les trois plaignantes anonymes - dont deux playmates de Playboy - affirment que le père de famille les a violées et battues, au point qu’elles ont dû être placées sous soins médicaux intensifs, selon les termes de la plainte.

Une fois dans l’appartement d’une valeur de 8 millions de dollars situé au dernier étage, elles étaient amenées dans une pièce où se trouvaient des cordes, des chaînes, des sex toys, ainsi que des équipements BDSM.

Rubin bâillonait, attachait, et violait les femmes de façon brutale - allant jusqu’à donner un coup de poing au visage de l’une d’entre elles, d’après la plainte déposée par l’avocat John Balestriere.

’’Je vais te violer comme je viole ma fille’’ aboyait Rubin durant l’un des viols.

Au cours d’une des sessions, il a frappé ’’les seins de l’une des femmes si violemment que son implant s’est délogé’’.

L’ancien trader de Bear Stearns lui a versé 20 000$ pour réparer les dégâts.

L’une des plaignantes a été attachée, bâillonnée et électrocutée sur son bas-ventre avec une pique à bestiaux avant d’être violée par Rubin, d’après la plainte.

Rubin - qui collaborait avec deux entremetteuses féminines et un avocat - obligeait les femmes à signer des accords de confidentialité, d’après la plainte.

Balestriere écrit que le trio cherchait à ’’couvrir les abus sexuels criminels de Rubin, ainsi que son vaste réseau de trafic d’êtres humains’’.