On peut ne pas être d’accord avec Miguel Benasayg, notamment sur sa
vision « positiviste » de la technologie, bien qu’elle soit pondérée
et raisonnée. Cette problématique ne pourra malheureusement pas être résolue avec l’aide
d’arguments de comptoir : le rapport de l’homme à la technique — et de
manière corrolaire à la marchandise — est l’un des enjeux majeurs, sinon du
XXIè siècle, du moins de notre civilisation… Et l’on aurait envie de dire de
toute civilisation arrivée à un stade de développement similaire au nôtre.