Peut-être faudrait-il envisager une riposte du genre de celle des habitants de la baie de Minamata. Ils ont acheté chacun 1 action de la société responsable de la pollution au mercure dont la population était victime, et ils sont allés pourrir totalement l’assemblée générale des actionnaires.
Si dans 1 an Carrouf n’a pas répondu à Elise Lucet, en s’engageant à ne pas commercialiser des vêtements tissés avec du coton récolté par du travail forcé ; alors il faudra envisager d’aller demander des compte à Carrouf en assemblée générale !