J’ai vu déjà lu beaucoup de réactions suite à ces propos qui prennent déjà - c’était peut-être le but - la place du bouquin de Wolff, mais parmi ceux qui les condamnent, posément ou véhémentement, il ne se trouve personne pour affirmer que les pays visés sont, en réalité, des pays comme les autres. Comme la Norvège, par exemple.
C’est indéniablement le symptôme d’un malaise : ce n’est pas le constat qui est condamné, c’est le fait de l’avoir exprimé à voix haute.