Quant
à l’utilisation du terme « féminicide »(un quasi concept aujourd’hui)
à propos de l’affaire Daval et à tout propos en ce qui concerne les « crimes
passionnels » dont les victimes sont des femmes, telle que « Alexia Daval
est morte parce qu’elle était une femme ! » -, c’est sûr.... toute
l’histoire judiciaire des "crimes
passionnels" et ceux qui l’accompagnent (avocats, psychiatres,
procureurs, juges d’instruction, historiens) doivent hurler à la bêtise à la
lecture d’une telle affirmation digne
d’un discours militant, le pire des discours ; discours aveugle et mensonger.
Les crimes "conjugaux" prennent pour cibles les femmes car 99% des
unions sont hétérosexuelles et dans cette union, l’homme est généralement le plus fort d’un point de vue physique. Bien évidemment, il en va tout autrement lorsqu’il
est question de crimes commis par un tueur en série qui prend pour cibles les
femmes et seulement celles-ci.