Et vous persistez dans vos vaines polémiques. La parole désincarnée ne produit que du concept déraciné. N’ayez crainte car je viens bientôt vous expliquer la vie. Donnez moi votre haine et votre orgeuil que je les broye et les consume. Mourrez, c’est ce que vous avez de mieux à faire. Alors la réponse viendra... doucement, sereinement, sans bruit ni remou.