Malgré tout le respect que j’ai pour Nietzsche et son oeuvre, je rejoins l’analyse d’Evola qui voit dans son surhomme une erreur conceptuelle dans sa finalité mesurable. Il en va de même pour la manipulation génétique, outre l’idéologie abjecte aux mains d’un scientisme aveugle, elle s’engage dans une erreur monumentale de s’imaginer que l’intelligence dépend de la génétique
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Quelle intelligence, déjà ? Il y en a des milliers, toutes différentes et spécifiques, peut-être même certaines aux formes encore inconnues, que l’on tente stupidement de mesurer en représentation unidimensionnelle sur une droite nommée QI. Pour faire simple je dirais que les spécificités d’un individu "viennent d’ailleurs", les anciens textes orientaux appelaient cet ailleurs "Dharma". Ces spécificités ne se trouvent pas sur la partie émergée de l’iceberg, sur laquelle on veut agir, mais au sein de la partie immergée, dans laquelle aucun instrument ne pourra jamais pénétrer
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Ce que les scientistes cachent, ainsi que les financiers qui les soutiennent, c’est qu’il n"est pas question de construire un homme V2.0, ce qui est impossible dans la dimension physique, mais il est question de fabriquer de parfaits robots bien dans le moule avec des méthodes qui tiennent de la camisole chimique améliorée.