Un reportage sur la Suède fait par une équipe norvégienne : étrangement les quartiers des "migrants" sont devenus des "quartiers de merde" et le paradis suédois est devenu en quelques années un enfer. J’avais traduit il y a qq temps une vidéo d’un Suédois relatant le viol collectif d’une femme dans une cage d’escalier d’un de ces immeubles : une bonne vingtaine de "réfugiés" s’étaient relayés durant des heures pour violer et tabasser cette fille, qui selon certains "l’avait bien cherché". En 2011 déjà, une responsable de la police d’Oslo affirmait que 100% des viols à Oslo étaient commis par des non-européens. Le procureur de Stockholm parle de certains quartiers de la ville comme des "zones de guerre"* au point qu’il est évoqué la nécessité de s’inspirer des méthodes colombiennes pour traiter la criminalité. En Suède les autorités ont même du faire des formations aux rapefugees pour leur expliquer que violer les femmes, ça ne se faisait pas (contrairement aux pays - de merde - d’où ils viennent). La police suédoise conseille désormais aux femmes de ne plus sortir seules et de prendre un taxi pour rentrer le soir... voilà qui constitue un indéniable enrichissement pour les paisibles sociétés scandinaves que les féministes gauchiassisées jusqu’au trognon sont bien en peine de dénoncer : pour elles, le problème ce sont... les hommes. Les nordiques auraient du venir faire un tour chez nous (cet article ne le précise pas mais ce sont les auteurs des faits sont des futurs Montaigne) avant d’ouvrir généreusement leur pays aux hordes de migrants Syriens... de Somalie et d’Afghanistan. Le syndrome de Stockholm porte décidément bien son nom.