Ce témoignage est capital car il met en évidence un fait essentiel :l’intrusion d’éléments extérieurs dans certains établissements n’a rien à voir avec l’immigration clandestine .Il s’agit de réglements de compte entre bandes rivales locales.Ceette violence est à l’image à ce qui se passe dans dans certains quartiers de zones sensibles en métropole.Le clandestin est montré du doigt pour cacher toute une jeunesse mahoraise qui n’a que pour modèle les racailles des banlieues ou des quartiers chauds des Etats Unis.C’est surtout une explosion de la société mahoraise qui a perdu tous ses repères et qui ne parvient plus à controler sa jeunesse.