C’est bien joué !
Un canular d’étudiants subversifs, où tout a été bien pesé : ces "gentils" cancrelas sont mignons tout plein, rien à voir avec l’agressivité malsaine et obscène de Charlie hebdo, pour qui tout est permis au nom de la très sainte "liberté de la presse" et ces joueurs d’échecs, Bernard-Henry Lévy, julien Dray et Jacques Attali, en vieille chouette, restent plutôt bonhommes, à cela s’ajoutent des trouvailles amusantes sur l’échiquier* qui donnent à cette caricature l’allure d’un jeu potache et une pique (sans doute celle de trop) qui saute au yeux, comme le "TILT" d’un flipper électronique des année 60, au premier plan, à droite.
En quoi la LICRA, l’UEJF, J’accuse, le MRAP et SOS Racisme, se sentent-ils concernés par ces joyeux dessins plutôt bien réussis, qui ne font que dire clairement le fond des choses et que tout le monde sait ?
Erreur d’appréciation, mais qu’importe, ou tant mieux : tellement sûr d’eux, ils ont mordu à l’hameçon et nous voilà entré dans un nouveau ballet tragico-comique qui va mettre au grand jour bien des choses et se terminer par une "poilade" de première grandeur.
* l’échiquier.
Le roi, Macron "la nation c’est la guerre". La reine, Fillon "j’irai jusqu’au bout". Le fou, lignes noires, J-L Mélenchon "à bas la religion". Jusque-là, tout compris, puis, là, une interrogation : au même rang que Mélenchon, un deuxième fou, sur ligne noire : F.Asselineau, qui dit trois fois : "article 50".
Deux fautes de logique qui font transparaître un non dit étrange. Les auteurs de ce brûlot potache pourraient-ils nous en donner la clé ?