D’accord avec Belenos. On peut
discuter avec tout le monde, même avec des sophistes atlantiste intégriste du
cercle de l’oratoire. Seulement il faut connaitre un minimum le dossier, ce qui n’est manifestement pas le
cas de Polony.
Déjà Glucksman
a raison sur la continuité de la politique étrangère française depuis le début
de la crise syrienne, Polony s’est fait mystifier par la com de Macron comme
beaucoup d’autres personnes qui focalisent leur attention sur les éléments de
langage macroniens plutôt que sur les faits eux-mêmes alors qu’il est évident que la présidence Macron
rien n’a strictement rien changé.
Ensuite face à la prêche pseudo-droidelhomiste et
interventionniste de Glucksman (Bachar massacre son peuple, le « régime »
est responsable d’une dizaine de « gazage » sur les populations civiles
selon les enquêtes de l’ONU, la Russie oppose son véto à une enquête indépendante , ceux qui n’ont pas
protesté contre les bombardements russes à Alep et qui deviennent pacifiste lors
des bombardements occidentaux sont des hypocrites et gnagnagna ) , soit elle n’a
aucune réponse , soit elle est obligée d’acquiescer avec des « ouééé méééé ».
Elle est tellement
dans les cordes qu’elle se sent obligé de chercher un compromis en affirmant
que l’occident aurait du s’arranger avec la Russie pour dégager
Bachar alors qu’à la base elle partait sur une posture non interventionniste ,
demi mesure que Glucksman rejettera arrogamment d’un revers de la main.
Elle s’est
fait niquer. Mais c’est plus lié à sa méconnaissance de la crise syrienne plutôt
qu’aux « sophismes » de Glucksman intégralement démontables de A à Z.