"La société civile n’entend pas en rester là", qu’elle dit la journaleuse de Canal+
Cette pauvre dame est morte pour rien, parce qu’elle ne s’était même pas rendu compte qu’elle se ferait pulvériser dès qu’elle approcherait trop de certaines réalités et de certaines personnalités.
Si on consulte les pages de Wikipedia où il est question de Malte et de politique, en français, en anglais et en italien, le nom de Daphne Caruana Galizia n’apparaît. Il se raconte que certaines de ses révélations ont provoqué des élections anticipées en 2017, mais la majorité sortante a été reconfirmée par 55 % des votants.
Le mieux, c’est encore de se désintéresser complètement de ce genre de pays...