@Mahler
« Et ne vous en
déplaise, contrairement à vos caricatures falsifiantes, cela n’empêche pas
Asselineau de poser la question migratoire. »
Ce
qu’il s’est bien gardé de faire jusqu’à présent
« De
plus faut-il rappeller que de toute son histoire, la France s’est construite
sur le brassage des cultures et ce depuis , les Uns les Francs et les Romains
et n’a jamais, de fait, été le fruit de votre étendard idéologique
d’homogénéité de l’ethnie. »
Comme si c’était le problème - outre que les Huns n’ont dévasté le territoire français que pendant quelques mois.
Le magistral exposé de Mahler
vous répond mieux que je n’aurais uu le faire, et ce qui importe, désormais, c’est
ce qui existe encore, au début du XXIe siècle : à savoir un peuple
héritier d’un des plus riches patrimoines du monde, sur tous les plans artistique,
culturel scientifique, industriel. Ce peuple qui reste, globalement, selon le
mot de De Gaulle : « …européen, de race blanche, de culture grecque et
latine et de religion chrétienne. »
« Comme
si, au demeurant , une identité nationale se constituait comme une essence
éternelle ou dans notre sang, notre couleur de peau ou notre religion et non
dans une culture apprise et une histoire en mouvement. »
L’identité nationale, c’est ce qui distingue un peuple, des
peuples des nations qui l’entourent et, à plus forte raison, des peuples venant
de plus loin, voire de beaucoup plus loin. En 1972, Georges Pompidou osait
encore déclarer en conférence de presse :
« Le problème, c’est que les Nord-Africains, et
particulièrement, les Algériens sont concentrés dans quelques agglomérations,
Marseille et sa banlieue, la banlieue lyonnaise, la banlieue et Paris. Il y a
là des concentrations énormes. Dans telle localité de la banlieue lyonnaise, les
étrangers de toute espèce sont en majorité. Il va de soi qu’à partir de ce
moment là, lorsque deux communautés se trouvent vivre mélangées, avec des
habitudes, des convictions, des modes de vie absolument différents, il se crée
des conflits. Il est déjà très difficile de vivre en paix avec ses
voisins. A plus forte raison lorsque ces voisins ont des habitudes
absolument différentes des vôtres ».
Près
de cinquante ans ont passé, le problème s’est étendu géographiquement, et
aggravé avec la communautarisation de gens qui n’ont de français que la
nationalité, mais ni les habitudes alimentaires, ni les mœurs, ni les
convictions, ni les modes de vie. Ils vivent dans des enclaves d’où la
République est absente, comme notre civilisation.
Deux
solutions s’offrent alors, à la France de 2018, soit contenir l’expansion
allogène, alterculturelle et alterconfessionnelle, soit faire de plus en plus
de place à ces indésirables nouveaux venus autour d’une table que nos ancêtres
et nous-mêmes n’avons pas dressée pour eux.
En
se positionnant contre les identitaires, Asselineau a fait le choix de la
seconde option. Ce n’est pas le ranger dans une case que de le constater et d’observer
que, quand il condamne le « racialisme », c’est notre droit à l’instinct de conservation, en tant que peuple, et à la
légitime défense qu’il met en cause.