Psychose la scene de la douche :
https://www.youtube.com/watch?v=xcg42KhsZew
psychose fin :
https://www.youtube.com/watch?v=KXnpzzoPaFU
interview mère beltrame
https://www.youtube.com/watch?v=tfgIYNuDu7w
Les gens de gauche sont dotés d’un ensemble de traits de caractère que chacun connait bien.
Il leur est reproché 1) d’être dans un déni de réalité constant, 2)
d’être coupé de la réalité 3) de faire preuve d’une certaine naïveté, de
simplicité d’esprit, d’innocence, 4) d’avoir un petit coté agaçant,
irritant et parfois exaspérant.
Parmi ces traits de caractère, deux d’entre eux sont attibués
officiellement à la psychose : le déni, et la "perte de contact avec la
réalité".
L’angoisse dans la psychose est une angoisse de morcellement, le
mécanisme de défense contre cette angoisse est le déni, il s’agit d’un
déni de réalité. Les femmes sont davantage enclines à la psychose parce
que ce qui constitue la femme c’est la castrastion et/ou le déni de
cette castration. Revisionnez cette vidéo, s’il vous plaît
Nous voici donc avec trois éléments communs entre la psychose et les
gens de gauche : le déni de réalité, la coupure avec la réalité, les
femmes.
Or lorsqu’une femme de gauche, vraiment de gauche, est dans le déni
de réalité, voyez la vidéo de madame Beltrame qui utilise les "éléments
de langage de gauche", diversité, vivre ensemble, humaniste. Ces femmes
de gauche ne peuvent pas ne pas transmettre leur déni
de réalité à leurs enfants. Eduquer leurs enfants, pour ces femmes c’est
leur transmettre leur déni de réalité, leur psychose. Leurs enfants ne peuvent pas être
normaux, ou bien ils sont comme leurs mères, ou bien ils sont splitté
dans leur tête, avec un morceau de cervelle qui leur qui leur dit : "ta
mère, quand même, cette femme courageuse, humaniste, qui s’est sacrifié
pour ses enfants, d’ailleurs la bible ne dit-elle pas : "tu respecteras
ton père et ta mère"" ... ; et il y a une autre partie de leur cervelle
qui leur dit : "mais arrête de psychoter mon pauvre garçon, c’est une
vieille folle, elle raconte n’importe quoi, et tu le sais très bien,
elle délire".
Donc ces enfants sont face au déni de réalité que leur mère leur a
imposé, comme toutes les femmes de gauche, toutes les institutrices, les
professeures, les universitaires, "chaque jour ; dans un quelconque
village, dans une quelconque famille, dans un quelconque collège" (
droit d’auteur Mélenchon) .
Il s’agit donc de la transmission de la maladie gauchiste, des mères à
leurs enfants, des professeures à leurs élèves et des universitaires à
leurs étudiants.
Je ne peux pas dévelloper davantage pour des raisons de convenances
sociales, mais voyez les commentaires sous la dernière vidéo.