le terme antisémitisme, ancienne version embryonnaire post est déjà une escroquerie de la novlangue, il traduit une volonté de la communauté imprononçable d’intégrer les hostilités à son égard dans ce qui serait une pathologie haineuse étendue à un ensemble de communautés historiquement connexes. Dans la plupart des cas, il ne faut pas lire "antisémite", mais "antijuif". Merde, je l’ai dit  Il ne faut pas être trop précis, n’attirons pas l’attention sur la communauté de lumière, dans le terme "sémite", on adjoint une lignée ethnique voulue très large, et volontairement tenue vague, qui va de l’Afrique du nord au Moyen-Orient

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En V2.0, on étend encore la notion. On est raciste et antisémite (toujours lire antijuif - merde je l’ai encore dit). Là c’est le crime absolu, mais, entendons-nous bien, uniquement parce que la communauté de lumière y est incluse. On peut donc se prétendre par exemple anti-iranien ou anti-palestinien sans risquer le bûcher, parce que dans ce cas, on n’est ni raciste ni antisémite.

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En préparation la V3.0, qui sera un chef d’oeuvre sémantique du genre conspirationniste, antidroitdelhommiste ou antidémocrate (il faudra toujours lire antijuif), on aura le bouclier parfait derrière lequel le peuple élu de Dieu pourra conforter son envahissement et poursuivre publiquement les vilains goys - que dis-je, les gentils dans le doute - afin de renforce la religion d’état. Le langage est une arme redoutable, ce n’est pas pour rien que Fernand Nathan a imprimé pendant plus de 50 ans les manuels des madrasas républicaines baptisées à juste titre Education Nationale