J’ai été jusqu’à la comparaison que fait J.R ... entre Breivick et le Che ... hum ... j’hésite !   L’un tirait sur des innocents ... l’autre défendait des innocents contre des monstres.

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Comme le montage est bien réalisé, je pensais que j’allais me marrer ... mais dès les premières paroles, on sait ce que chacun d’eux va dire. On peut être nul à chier et avoir un truc à dire, quand même !!! D’ailleurs, j’en suis sûr ... leur héros Breivick, doit probablement avoir un ou deux trucs à dire, mais pas eux ...
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On est en droit de se poser des questions sur ces 2 là ... Par exemple :

- Quel est le processus qui les a conduit là ?

- De quoi vivent-ils ? Rsa, Assedic, héritage ?

- Sont-ils pris en charge psychiatriquement et psychanalytiquement ?

- Robin, si imbu de sa personne ... sait-il au moins qu’il est plus clown qu’autre chose ?

- Conversano ... aussi cucul la praline que "moule alpha"

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Ce qu’il y a de bien, à ce bas niveau, c’est que l’on sait d’avance ce qui va se passer : par exemple que Robin va un jour venir se plaindre de Conversano, l’inverse ou les 2 à la fois.