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maQiavel maQiavel 6 juin 2018 12:51

Pour répondre à la question posée dans le titre de l’article, je pense que la solution serait la mise en place d’une loi d’exil ou de bannissement. Ce type de loi a déjà existé.

Dans notre contexte, elle consisterait à expulser du territoire national ou à empêcher le retour sur le territoire national de toute personne jugée coupable d’avoir été membre  ou avoir collaboré avec une organisation ( ou un Etat) classifiée comme ennemie de la République française. Bien sur, cette personne l’aura fait sans autorisation des pouvoirs publics (je pense notamment aux espions infiltrés ou même à d’anciens membres de ces organisations retournés par les services de renseignement, eux ne seraient bien entendu pas concerné par cette loi).

Ainsi, on aurait même pas besoin d’emprisonner les jihadistes sur le sol français ( et transformer les prisons en fabrique à jihadistes ) ,  on aurait pas à s’en faire du retour des jihadistes parti combattre à l’étranger ( qui seraient jugés dans le pays dans lequel ils seraient appréhendés sans que la France ne fasse pression auprès des autorités du lieu pour exiger leur clémence  comme c’est le cas aujourd’hui , on marche sur la tête) et on dépasserait le problème que pose la déchéance de nationalité et le risque d’apatridie. D’une pierre, trois coups.

Pour les enfants de ces jihadistes par contre, je n’ai aucune idée …

PS : On pourrait même étendre cette loi aux membres d’associations recevant des financements étrangers. Ce serait une version beaucoup plus extrême et contestable de cette loi mais il n’empêche que c’est une question qui doit se poser pour un pays qui tient à résister aux tentatives de subversion étrangères. Mais c’est un autre sujet.




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