Il y a aussi le fait que, dans la vraie vie, un oral, essentiellement pour les élèves qui ne sont ni intéressés ni prêts, entraîne un trac qui peut être démesuré et qui doit, derrière des apparences simili-décontractées, se canaliser via des lapsus énormes ou tentatives de se sauver par l’humour. Avec aussi la variante pour qui sait que son année ou sa scolarité est foutue, de feindre de se foutre du prof tout en se sabordant.
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Il se passe donc potentiellement des trucs énormes selon les individus ou les classes en question...