@La mouche du coche
Absence dans la
nature de fossiles “intermédiaires” bizarres, imparfaits, avec
des moignons, des bouts d’ailes, des écailles à la place de
plumes, etc. que réclame obligatoirement cette théorie alors qu’on
a plus de 150 ans de recherches archéologiques derrière nous.
Les fossiles sont
rarissimes (sauf les animaux marins à coque calcaire comme les
oolithes qui constituent les milliards de tonnes des plateaux
calcaires, sans oublier les coraux).
Ils ne se forment
que dans des conditions très particulières : enfouissement rapide
dans un milieu anaérobie comme des marais ou du bitume.
Il y a eu pendant
ces centaines de millions d’années des milliards d’animaux, de
dinosaures par exemple. Et on n’en a retrouvé que quelques centaines
d’os fossiles au plus.
Beaucoup d’autres
fossiles qui n’ont pas été détruits par les mouvements
tectoniques, sont encore sous terre, malheureusement indétectables.
On y trouverait certainement tous les "chaînons manquants".
présence très
ancienne par contre de fossiles très sophistiqués comme les
araignées, oiseaux, etc. qui détruit l’idée d’une évolution
allant nécessairement dans le sens d’une complexification
L’idée
d’une complexification continue des organismes a été abandonnée
depuis longtemps. Néanmoins, entre l’eryops de l’ère primaire,
amphibien qui se traînait sur le sol et pondait des œufs mous dans
l’eau et un faucon, volant en piqué à trois cents kilomètres/heure,
avec une vue exceptionnelle et pondant des œufs à coquille
calcaire, on ne peut nier un "progrès".
D’ailleurs
un eryops ne survivrait pas dans le biotope d’aujourd’hui.