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egos 22 août 2018 02:02

R Erdogan teste à ses dépends les limites d’une politique de non alignement, 

comme nombre de ses prédécesseurs, aveuglé par sa mégalomanie et les Mlds de $ accumulés par son entourage au moyen d’une corruption considérable appuyée sur des pratiques népotiques et clientélistes.
Trop c’est trop surtout lorsque l’on tient, comme la Turquie un rôle militaire et diplomatique pivot dans la région,
vouloir s’établir en puissance régionale autonome, tt comme l’Iran, l’Irak, la Libye il y a encore peu, dans un monde encore unipolaire, peut être bipolaire ds qqs années, révèle les sérieux troubles psychiques dont souffre le dirigeant turc.
Dans les colonnes de la presse occidentale, et ce depuis plusieurs mois voire années, l’image de R Erdogan voisine celles de feu Hussein, Khadafi et ne pèse guère plus que El Assad ou Rohani.
L’Empire radicalise ses méthodes et interventions, sans trop se soucier de l’impact médiatique des ses ingérences, à la manière des dictatures privilégiant la force brute qui sévirent en Europe, Amérique Latine, URSS etc.
Une fois l’étape franchie et l’écueil surmonté, on en revient à des pratiques de démocratie formelles plus acceptables au plan international et au business ;
Question de priorités.
La Turquie doit se préparer à changer de tête et s’en trouver une nouvelle,
cela s’avèrera plus difficile pour le président despote turc (éventuellement son entourage proche), 
lui n’en possède qu’une malgré ses pouvoirs étendus.



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