C’est grave, une partie du cycle démographique urbain s’est complètement déconnecté de la tolérance ou tempérance campagnarde, mais les pires sont ces milliers de campagnards qui bossent en ville, j’ai constaté qu’ils étaient souvent plus intolérants que les autres.
Pour les cigales, je ne me précipiterai pas, il s’agit peut-être d’une prolifération anormale (que les experts n’auraient pas observé, vacances obligent), phénomène récurrent dans toutes les régions touchées par les hivers trop doux et propices à la prolifération des nuisibles. On peut également ajouter à cela la disparition d’environ 50% de la masse des petits volatils prédateurs + 80% de la masse des insectes volants et rampants, dont certains sont également des prédateurs....
Comme disait mon père : "ils urbanisent les campagnes et bouffent bio en ville, on est mal barrés fiston !".