Mitterand cultivait l’ambiguïté,
Chirac l’immobilisme -excepté lors des Guerres d’Irak-
Jospin la duplicité et l’esquive.
Sarkozy, une forme de virulence fébrile.
Hollande, le(s) relâchement(s) élyséen(s)
Macron, la chirurgie néo-libérale.
Entre ces strates nuageuses, représentés par nos récents présidents,
au sein des masses nébuleuses, circulent ttes formes d’objets politiques aux trajectoires -en apparence- erratiques et au profil protéiforme.
Ce qui suscite, parfois -souvent- le sentiment de vivre sous un ciel de plomb.