@Simple citoyenne
Tout est dit par l’UPR justement et ne pas en parler est un baromètre de
qui vit de la crise, donc la critique sans proposer des solutions
concrètes pour continuer à vendre des livres et à se faire admirer par
des utopistes qui vivent pas si mal que ça, donc n’ont pas non plus trop
besoin que les choses changent. En parler par contre c’est rentrer dans
le combat donc s ’exposer à prendre des coups par l’ oligarchie qui
passe son temps à créé des divisions et à se nourrir de la haine. Des
gens comme eux ou comme Lordon et d’autres analyses les choses de la
même manière que l’ UPR mais ne vont pas proposer de politiques clairs
en préférant s’ afficher du bout des lèvres des insoumis mais sans trop
le dire quand même car ils pensent que c’est le gros de leur publique
mais en même temps leur honnêteté intellectuelle est bafouée car ils
savent qu’ils orientent vers un mur. Donc tous ces intellectuels qui
analysent la crise me laissent toujours un sentiment bizarre entre
admiration pour leurs travaux et dégoût pour ce qu’ils font de leur
audience. Après sinon faut proposer des solutions violentes mais c’est
interdit par la loi donc ca doit se faire caché mais pas sur la place
publique. Mais par le biais politique et avec ce qu’il reste de
démocratie l’ apport des intellectuels respectés par les masses est très
important pour espérer gagner un jour avant de se prendre une nouvelle
guerre du capital sur la tronche.