Pour ne pas s’endetter il faudrait employer les méthodes du clan Sarkozy : prendre le cash directement sur les palettes de billets fraichement imprimés par une banque centrale européenne (avec éventuellement un petit passage par un pays pas trop regardant comme la Libye, pour brouiller les pistes façon Pieds Nickelés) :
ce passage de l’interview de Fabrice Arfi est juste savoureux... (de 48:43 jusqu’à 55:13) quand Boris Boillon (un "Sarko boy") se fait pincer par les douaniers avec 350 000 euros de billets jamais mis en circulation...
(pas de dettes comme ça... l’argent imprimé passe directement dans les mains de celui qui en a besoin...)
Toute l’interview est édifiante : l’ensemble du clan Sarkozy croupirait en prison dans un pays où la corruption ne serait pas le mode de fonctionnement endémique des institutions du pouvoir...