@Simple citoyenne
Oui , c’est proprement incroyable.
En tous cas , cette histoire
montre à quel point le gauchisme militant pollue la recherche universitaire avec
des dingueries. Oui on va m’accuser de psychiatriser mais à un moment donné
faut être lucide , ces gauchistes sont complètement fous , les identités
sociales , culturelles et même biologiques n’ont plus aucune prises sur leur
esprit qui part en roue libre , dans l’article que j’ai mis en lien , on parle
de folie identitaire et c’est à mon sens l’expression indiquée.
Un exemple :
« Dans un mémoire consacré à la masturbation, les auteurs du canular
écrivent que "quand un homme se masturbe en privé en fantasmant sur une
femme sans qu’elle lui ait donné sa permission (...), il commet une violence
métasexuelle contre elle". Dans son évaluation, la première contributrice
de Sociological Theory encourage nos chercheurs à aller plus loin encore dans
cette théorie : "Je pense à d’autres scénarios où les hommes pourraient
transformer en arme leur non-connaissance de manière très tangible. Par
exemple, la déclaration ambiguë ’Je pense à toi tout le temps’, dite de manière
impromptue à une femme par un homme, est particulièrement insidieuse, étant
donné le contexte structurel de violence métasexuelle dans le monde". »
Est-ce que des gens normaux peuvent valider un truc pareil ?
Ou encore ça :
« Le clou de cette fanfaronnade a
été apporté par un essai présenté au magazine Sociology of Race and Ethnicity,
où nos trublions prétendent "examiner de manière critique la blanchité
(’whiteness, ndlr) depuis la blanchité". Pour cela, ils ont ni plus ni moins sélectionné - sans le dire - des extraits de Mein
Kampf, l’infâme pamphlet antisémite d’Adolf Hitler, en y remplaçant le mot
"Juifs" par "Blancs". Le paper a été rejeté mais cela
ne l’a pas empêché de recevoir au préalable les éloges de plusieurs pairs
universitaires. »
Ces gens là
en deviennent carrément racistes à l’hitlérienne.