@Pierre Régnier
C’est également une erreur de confondre le cas de ces jeunes (parce que quand on parle de "banlieues qui pètent" on parle bien d’émeutes urbaines et donc de ces jeunes qui ne sont pas des muz pratiquants pour la plupart mais des branleurs parasites acculturés) et celui de l’islam. Il y a deux pbs qui, peuvent se recouvrir parfois, mais qui nécessitent deux réponses distinctes. Le cas des "jeunes" est très facilement réglable par la force et une politique "tolérance zéro".
Le cas des muz envahissants peut se régler par la loi, à commencer par cesser de les faire venir, d’accorder des millions de visas annuels et autre titres de séjours qui sont autant de portes d’entrée légales pour un séjour par la suite illégal, expulser tous les clandestins, criminels étrangers, supprimer le droit du sol, déchoir de leur nat les binat qui menacent notre sécurité, etc. Tout cela peut également se régler et ferait du bien précisément à ceux qui veulent s’intégrer, juste travailler et vivre en paix. 
Il même criminel de ne pas le faire puisque cette passivité met en danger direct ceux qui subissent les violences des allogènes (violences à sens unique pour le moment) et mettront à terme en danger les Français d’origine immigrée. 
Le statu quo actuel (à savoir la poursuite de cette immigration de peuplement) ne satisfait que le marché et protège l’hyper-classe par horizontalisation de la lutte.