Moi ce qui me fait marrer, c’est qu’on a une jolie scène post-moderne : une gouine aux airs d’institutrice revêche et aigrie dans le rôle de commissaire aux idées propres sur le service public, passant à la question un/une (je ne sais pas quoi employer) transexuel(le), devant la nonchalance du bourgeois libéral-conservateur qui lui sert de co-chroniqueur et qui moufte pas trop au risque de perdre sa gamelle.
Dans 20 ans, y aura de quoi tourner une farce style papy fait de la résistance.