Notre limitation existentielle, cad le carcan espace/temps dans lequel nous sommes plongés nous humains, nous oblige à employer la brutalité en permanence car notre existence est un flash sur l’échelle du vivant, donc pour satisfaire notre conscience nous sommes obligés d’aller vite en bousculant tout au passage, ce n’est pas le cas des végétaux, l’obsolescence qu’ils programment est basée sur le très très long terme. Les plantes sont cependant en mouvement permanent par leurs cycles de croissances et se déplacent par régénérescence des tissus.