Pour mettre les
choses en perspectives concernant l’affaire Tron, il existe un combat culturel
qui se mène actuellement par certaines tendances féministes qui consiste à
faire des hommes en position de pouvoir des agresseurs sexuels en puissance et des
femmes en situation d’infériorité hiérarchique des proies privilégiées. Des hommes
qui, de par leur position de pouvoir, tel que Harvey Weinstein ou Tarik Ramadan
userait de techniques subtiles de manipulation ou de pressions psychologiques
qui mèneraient à des rapports sexuels qui ne seraient pas consenti. La vague « metoo »
a donné une puissance de feu extraordinairement importante à la communication
de ces tendances féministes.
Et l’objectif
de cette lutte culturelle est de changer les mentalités pour pouvoir amorcer
des changements politico-juridiques concrets sur la notion de viol et de consentement, de
sorte à créer une présomption de culpabilité de facto et un renversement de la
charge de la preuve : le postulat de la plaignante serait vrai jusqu’à
preuve du contraire. A l’accusé de se démerder pour prouver qu’il est innocent.
Nous avons donc
affaire là à des réseaux qui constituent un véritable danger pour les principes
de l’état de droit.
Je conseille
cet article
sur la façon dont ça se passe dans les campus américain , il est un peu long mais
il fait le point sur des questions de procédures et donne des témoignages plutôt
intéressants de personnes dont la vie a été détruite car elles n’ont pu
démontrer qu’elles étaient innocentes.