Non-lieu pour les « châteaux japonais » APRÈS DIX ANNÉES d’instruction, l’affaire des « châteaux japonais »
s’est achevée sur un non-lieu. Ce dénouement est d’autant plus inattendu
que l’affaire avait revêtu l’apparence, pendant des années, d’un
scandale juridico-financier impliquant principalement Kiko Nakahara,
fille d’un homme d’affaires japonais, mandatée par son père, PDG de la
Nippon Sangyoo (BTP, transport, bars, salles de jeux) qui a acquis une
quinzaine de propriétés en Europe, dont sept en France et trois dans les
Yvelines (Rosny-sur-Seine, Millemont et Louveciennes), en vue de
projets immobiliers . Le délabrement de ces sites, laissés sans
entretien, puis les pillages dont ils ont été victimes ont fini par
faire grand bruit. Associations et municipalités
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