« ouin-ouinvel »
C’est marrant cette appellation, venant de quelqu’un qui,
dès qu’on lui répond sur le même ton, chose qu’il ne tolère pas, utilise tous
les artifices féminins possibles et imaginables, passant allègrement de la
pleurniche victimaire aux crises de colère sans parler des éternelles
inversions accusatoires, pour finalement réécrire une histoire qui fait de lui
l’innocente victime de la malveillance de ceux qu’il agresse.
Je m’en vais, je vais le laisser tourner en boucle tout seul
sans lire les réponses qu’il ne pourra
pas s’empêcher de faire et dont je connais déjà le contenu.