"Rupture chez les Gilets Jaunes"
Attention, le titre de cet article est grossièrement erroné et témoigne d’une incompréhension de la réalité du phénomène : il ne peut pas y avoir de rupture dans un soulèvement spontané de la population. Il ne s’agit pas du tout d’un parti politique ni même d’une association où l’on trouverait une unité administrative et idéologique pouvant être l’objet d’une quelconque "rupture". Des GJ peuvent bien se disputer autant qu’ils le souhaitent, ce sont des gouttes d’eau qui ne changeront rien au tsunami.