Elle m’a
fait exploser de rire lorsque dans sa tribune, elle s’est plaint de la vitrine de Chanel fracassée par la populace, rhoooo
mais quelle abomination.
A ce propos
, il y’a un article que je recommande , beaucoup plus passionnant et révélateur
que ces histoires de ruptures de GJ digne de la téléréalité : « La
meute populaire : du mépris à l’extermination. Comment, au cours de la seconde moitié du XIXe siècle,
les écrivains décrivaient-ils le peuple insurgé ? Comme des ivrognes et
des bêtes, avec mépris et dégoût. Trop abêtie par l’alcool et
naturellement grossière, la masse insurgée ne saurait saisir ni les raisons, ni
les enjeux de sa propre insurrection. Relire aujourd’hui les déclarations de Flaubert, Feydeau ou Goncourt à
propos des communards et autres pauvres qui se soulèvent permet de mettre en
perspective tant de déclarations d’éditocrates ».