Elle est charmante cette petite dame. On lui donnerait le Bon dieu sans confession.
Ceci dit la culture de mort au cours du Moyen-Âge chrétien était omniprésente.
Entre la mode des danses macabres, l’obsession du péché, notamment du péché mortel, la culpabilisation omniprésente et autres joyeusetés, lia terreur de la damnation quasi inéluctable (cf. Jean Delumeau), la mise sous le nez perpétuel d’un crucifié, le monde chrétien n’a pas montré qu’il était vraiment une culture de la Vie.
Et je n’évoque pas le goût morbide des autorités ecclésiastiques pour les bûchers afin de punir les hérétiques et autres déviants de la pensée dominante.
Voir donc une héritière de cet univers mental là (rappelons que cette brave demoiselle est pour l’Inquisition) la ramener et s’amuser à donner des leçons a quelque chose digne d’un surréalisme à la Magritte..
Ceci dit, personnellement je préfère Bach, Vivaldi, et bien d’autres et ne me sens pas vraiment concerné par ce sermon moralisateur.