@nephis
Il ne s’agit
d’ailleurs pas tant d’équanimité que de modération dans ces sentiments. L’emballement
dans la joie mène à l’imprudence et à l’arrogance alors que l’emballement dans
la tristesse mène au désespoir et à la prostration (les deux emballements vont ensemble d’ailleurs ,on passe rapidement de l’un à l’autre).
Oui, je
pense que cette vision vient aussi , en plus des recommandations de Machiavel , de l’héritage d’un certain type de capital culturel.