J’ignore si Collon l’évoque, mais il y a un "détail" amusant dans cette pièce de théâtre...
Pour succéder à Chavez, Maduro avait fait appel à un pool de communicants de la maison Havas...
L’une de ces pointures engagées à l’époque répond au doux nom d’Ismaël Emelien...
Difficile de s’y retrouver dans le monde merveilleux des "élites" où l’intérêt général est l’épicentre de toutes les actions...