Encore et encore le délire animiste de Wigner et von Neumann !
2.1.13 Postulat animiste Wigner-Neumann.
« Moi gros animal macrophysique qui me déclare "observateur", je suis tellement tout-puissant que j’ai le pouvoir de retarder indéfiniment les réactions d’absorption et la décohérence qui en résulte, rien qu’en n’observant pas ! ».
L’apologue narquois publié en 1935 par Erwin Schrödinger, du chat « mort-vivant » tant qu’un physicien copenhaguiste ne penche son auguste attention sur le résultat de l’expérience, se moquait ouvertement du délire Wigner-Neumann, se foutait respectueusement de leurs augustes gueules.
Tout le battage marketing promettant un jour des "ordinateurs quantiques" repose sur le postulat de Wigner-Neumann.
Oh, ce ne fut pas Wigner qui inventa ce postulat animiste, qui flottait incréé dans l’air du temps à Göttingen, mais il le poussa à son paroxysme, et d’autres firent pire encore après lui.