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Deepnofin Deepnofin 14 mars 2019 16:26

La mécanique quantique ne vient-elle pas appuyer la thèse d’un univers Alchimique, qui serait créé et soutenu par les personnes qui l’expérimentent ?
Selon ma très maigre culture en alchimie et ma compréhension actuelle (donc, jpeux me planter grossièrement...), il y a 3 principes fondamentaux qui constituent tout l’Univers : le Soufre, aussi nommé "Lumière Vive", qui serait le principe actif, indéterminé et indifférencié, qui animerait toute chose (et donc représente aussi notre Microcosme, ce qui émane de nous et passe à travers le filtre de notre égo), le Mercure, qui serait le principe passif, intangible, l’information qui structure l’état final de la matière (et qui représenterait donc le Macrocosme, la force compressive de l’extérieur sur l’individu) et qui, animé par le Soufre, donnerait le Sel, c’est à dire la matière de notre Univers, qui ne peut être réduite (et le Sel représenterait notre égo, la "sphère stabilisée de notre personnalité").

Je propose une interprétation de ces principes alchimiques en m’aidant de ce que je comprends de la théorie Janus, et de certains des phénomènes quantiques les plus connus : selon Jean-Pierre Petit, si je comprends bien, notre Univers physique est couplé en permanence à son jumeau de signe opposé (chaque particule du modèle standard ayant son antiparticule, qu’on ne peut observer directement ici) et interagiraient avec la gravitation (ce qui expliquerait l’accélération de l’expansion de l’univers, la cohésion galactique...). Du coup, notre univers J+, de matière d’énergie et de masse positive, et de lumière d’énergie et de masse positive (nulle), serait couplé à J-, de matière d’énergie et de masse négative, et de lumière d’énergie et de masse négatives.

Mais, selon ma compréhension de la chose, la masse et l’énergie positives de notre matière et lumière, sont dues au mouvement perpétuel de J+ : il y a 13,8 milliards d’années, l’indivisible a émergé, s’est fractionné en créant la matière + le mouvement, et donc l’espace-temps, qui pourrait être traduit en une onde primordiale ("Aum") qui correspond à l’évolution à l’instant T de l’entropie du système de l’Univers (le "Présent"). Toute les objets macroscopiques de l’Univers seraient donc unis par cette onde, en communication constante, et toute "suppression arbitraire" d’un objet macroscopique entrerait une perturbation de cette onde primordiale. Tous les éléments de l’Univers seraient ainsi intriqués entre eux, et formeraient le Présent, le déroulement de l’Univers via l’expansion de l’espace-temps. Ça expliquerait pourquoi de nombreux écrits et témoignages d’expériences transcendantales (EMI, méditation, plantes rituelles...) décrivent un état "dans le Présent", et en communion totale avec l’ensemble de l’Univers. S’ils sont en résonance harmonique avec l’onde, ils sont en connexion avec l’ensemble.

Du coup, si c’est le mouvement ondulatoire du Présent qui est responsable de la polarisation positive de J+, alors J serait immobile, sans espace et sans temps, ce serait donc un trou noir, de matière d’énergie négative nulle (statique) et de masse négative infinie (trou noir), et de lumière d’énergie négative infinie (vitesse infinie, car partout dans le Présent statique) et de masse négative nulle. J+ serait donc le domaine d’expression de la matière variant d’un quanta d’énergie jusqu’au rayon de Schwarzschild, et de la lumière allant à C. A partir de là :

-puisque J+ et J sont couplés, la lumière de J-, de vitesse infinie, est donc constante et en tout endroit de J+, ce qui correspondrait à la Lumière Vive, le Soufre, et qui expliquerait notamment le phénomène d’intrication quantique. Toutes les particules de l’Univers seraient ainsi constamment couplées entre elles, via LV, et le Présent ondulatoire de J+ est en communication constante avec le Présent corpusculaire de J-.

-la matière de J-, puisqu’elle est couplée à celle de J+ et interagit via la gravité, correspondrait au Mercure, c’est à dire quelque chose qui existe, mais qui n’est pas déterminé dans notre Univers. C’est lorsque le Mercure (donc de la matière d’énergie et de masse négative) interagit avec des particules de J+, qu’il se polarise positivement, en "transmutant" du trou-noir J- à l’espace-temps J+ (la transmutation serait révélée notamment par l’énergie quantique du vide, toutes ces particules qui peuvent "émerger du néant" pour se fixer dans notre Univers si un évènement les "sort" de leur "existence non-mesurable dans le temps" ===> d’où l’énergie colossale du vide quantique, qui remonte à la structure fondamentale de l’Univers, puisque lorsqu’il est né, l’indivisible à émergé/créé une matrice, mais pour passer de rien à quelque chose, peu importe l’échelle, ça revient à passer de Zéro à 1, de Rien à Tout, et donc, l’énergie totale de l’Univers se doit d’être comprise "matriciellement parlant" dans tout "grain" de l’Univers, puisque c’est comme ça que le Tout à émergé...)

-La matière de notre Univers J+ serait donc le Sel, c’est à dire de la matière négative révélée en positif par l’intermédiaire du photon, qui est le quanta d’énergie de notre Univers, le responsable de toute l’interaction électromagnétique. Le photon, qui est neutre et avec une masse à priori nulle,serait à la jonction de J+ et J : il s’exprime dans notre univers, donc il est limité à C puisque nous sommes un univers d’espace-temps. La lumière visible de notre univers serait donc aussi du Sel, puisqu’elle correspond à un faisceau lumineux : le photon est le vecteur absolu indifférencié, la Lumière Vive, mais puisqu’il s’exprime dans un monde polarisé, on voit la lumière à travers un faisceaux, c’est à dire l’ensemble des chemins que traversent les photons pour parvenir à nos yeux, qui sont nécessairement influencés par l’environnement traversé. Toute la matière y compris la lumière de notre Univers serait du Mercure (négatif) soutenu et révélé (polarisé) par le Soufre.

Aussi, les particules à l’état quantique seraient, comme les photons, le pendant microscopique des trous-noirs, en ceci que de par leur taille, le changement d’échelle fait disparaitre la gravité, et donc la notion du temps. Ces particules serait indéterminées (=sans mouvement intrinsèque lié à l’espace-temps = sans polarisation positive), ce qui explique l’indéterminisme de la mesure : puisqu’elles n’ont pas de temps, elles n’ont qu’un état concret possible (elles ne pourraient pas avoir concrètement un état à un moment donné, et un autre à un autre moment, car alors il y aurait mouvement et temps), et nous ne pouvons en calculer que la probabilité. Tous les états possibles sont quantiquement occupés, mais c’est en polarisant la particule (en l’observant) qu’on fait s’effondrer la table d’onde = on transforme l’onde de probabilité quantique en onde de mouvement. On ne peut connaitre que l’énergie OU la position de la particule, de la même façon que si on observait notre univers sans notion du temps, on pourrait déterminer que la position des objets, pas leur énergie (vitesse). Connaitre la position et la vitesse d’une particule qui n’a pas de temps revient à lui imposer la notion du temps = la polariser positivement.

Mais ça voudrait dire aussi quelque chose d’autre : puisque notre Microcosme, notre "âme", serait de la Lumière Vive, et que cette dernière soutient l’intangible pour lui donner corps avec le Sel, alors ce qui nous anime est le même mécanisme qui soutient les choses, à travers l’Univers et avec une vitesse absolue et infinie, alors l’observateur et l’observé ont un lien causal. Ce serait appuyé par l’expérience du choix retardé de Wheeler. L’observateur est dépendant du Système, le Microcosme du Macrocosme, et inversement, le Sel n’étant que le "fixe temporel" du Soufre au Mercure. Le Sel correspondrait donc à la "polarisation positive" de notre Univers, donc au résultat concret à l’instant T (l’onde Aum, le Présent) du fractionnement de l’indivisible soumis à l’espace temps qu’il a lui-même créé, et pour l’individu, il correspondrait à l’égo, à ce que l’on voit et comprend, notre cage de "raisonance", qui serait donc le filtre de notre feu intérieur (Soufre, Microcosme) soumis à l’extérieur (Mercure, Macrocosme).

Plus concrètement, selon la fluctuation quantique du vide, des "particules fantômes" émergent constamment et donnent une énergie quantique quasi infinie au vide, mais elles disparaissent d’une manière quasi instantanée. Ca correspond à du Mercure "potentiel". Il faudrait à ces particules du Soufre pour se révéler, c’est à dire soit de la matière positive (Sel) qui interagit avec à l’aide de photons, ou des particules qui appellent à leur "existence" (disparition d’un quark aussitôt remplacé, etc) en produisant des photons...




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