Un papier du Monde qui tient la corde, pour une fois :
https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/03/16/il-n-y-a-que-quand-ca-casse-qu-on-est-entendu-recit-d-une-journee-de-violences-des-gilets-jaunes-a-paris_5437197_3224.html
J’ai l’impression que c’est une sorte de réponse du berger à la bergère.
Depuis 3 mois, l’exécutif dénonce les casseurs & violents chez les gilets, accumule de nouvelles lois permettant de les arrêter et ils sont toujours là. Tout le monde a compris le mensonge et qu’ils servent à à repousser les manifestants et familles qui craignent la violence d’une part, et à faire passer les GJ pour des abrutis aux yeux de l’opinion publique d’autre part.
Du coup, les GJ ne s’en occupent plus : ils manifestent et pendant ce temps, tout pète, puisque c’est ce que l’exécutif recherche.
D’ailleurs, l’article du Monde ne se fatigue même plus à parler de l’extrême droite : les casseurs, ce sont les blacks blocs, et puis voilà.