Avant le terrorisme, les dogons sédentaires vivaient du tourisme et les peuls pasteurs avait toutes les facilités pour vivre et se déplacer.
Depuis pour survivre c’est des terres à partager. Ca donne des frictions. En 2016 ou 2017 lors d’une dispute un dogon est mort et depuis c’est l’escalade.
Les dogons reprochent aux peuls d’être pro terroriste et les peuls reprochent aux dogons d’être pro gouvernemental.
A cela s’ajoute un problème de terroristes qui essaient d’isoler la zone, c’est le bordel mon général.