Ce genre de témoignage met la boule au ventre. On ne peut avoir que de la compassion pour ce qu’on leur a fait subir.
Malgré tout, si tout ce que j’ai bien lu est correct, je trouve quand même qu’à l’origine il y a une perception altérée de la réalité. Être à 2 heures du matin à Barbès, tout le monde sait que c’est carrément pas le bon plan. Surtout quand on est une femme incapable de se défendre face à une meute de sauvageons. Parce que tous ceux qui vont ironiser sur son gauchisme mental et sa conséquence en acte seront sans doute très crus dans leurs propos, mais on ne pourra pas leur donner tort. Y a un moment où l’immigration de masse et incontrôlée d’Afrique va se payer pour tout le monde. Même les Bretons longtemps épargnés dans leur lointaine province commencent à morfler. Bref, c’est la conséquence d’une inconséquence individuelle et collective.