@medialter "Le qualificatif "Luciférien" est employé ici dans le sens de
"diabolique", "pervers", "dégénéré", "mauvais", sans la moindre
connotation biblique. C’est simplement un effet de langage. Il parle
aussi bien de "dynamique prométhéenne", qu’il emploie dans le même sens
que diabolique, alors que tout érudit mystique sait parfaitement que
Prométhée (qui est une figure grecque sans la moindre fonction
satanique, bien au contraire) est porteur d’une fonction ésotérique très
favorable dans certaines voies initiatiques."
Bruno Gollnisch fait ici référence aux "Fils de la Veuve", dont Lucifer (Esaïe 14:5-20) et Prométhée, (il aurait pu ajouter Mithra entre autres) représentent les principaux mythes fondateurs des cultes des loges maçonniques.
Lucifer, Prométhée, désobéissent à Dieu et le défient pour apporter le fruit de la connaissance à l’homme afin de le rendre supérieur à Dieu, devenant ainsi seul tout puissant, n’ayant plus aucune entrave, aucune limite, ce qui donnera les dérives de notre temps : capitalisme et mondialisme avec exploitation des ressources naturelles sans limites, destruction de la famille, de l’héritage, de l’identité, de la culture, du patrimoine, de l’Histoire et de la mémoire des anciens, de l’ordre et du bien commun établi depuis des siècles par la civilisation chrétienne.
Seul le citoyen individualiste face à la république doit subsister, devenant ainsi complètement manipulable, au gré des expérimentations d’une poignée élitiste (mariage gay, GPA, marchandisation du corps humain, nomadisme, travail à la chaîne, déplacement de population en masse,...).
La franc-maçonnerie est une oeuvre satanique, puisqu’elle s’oppose directement à l’Église catholique par ses héros destructeurs de l’ordre divin.