Michel Simon, un homme de l’ancien temps, où nous avions encore le sens de ce qui est. Il déprime parce qu’il voit l’horreur se profiler : le monde actuel. Quand je vois la masse de gens, de jeunes en particulier (les jeunes m’effraient tant ils sont soumis, avec succès, à des pièges idéologiques très fins qui font d’eux des consommateurs, justement parce qu’ils sont amnésiques de ce que fut l’ancien monde), qui fonce tête baissée dans l’artifice et la nouveauté perpétuelle, accroc au "progrès" et à la technologie de pacotille actuelle, je m’affole.
Il parle des femmes. S’il savait ce que le féminisme en a fait : des bestioles ultra-conformistes et apeurées, véritables monstres et chantres du fascisme contemporain. Leur beauté est une agression permanente, une arme aux ordres du capitalisme et de la superficialité. La jeune femme embourgeoisée aujourd’hui est l’archétype de l’individu fasciste, du consommateur, le porte-étendard de l’ordre nouveau. Leur fausse émancipation prend des allures de désastre collectif savamment instrumentalisé par le pouvoir central.
Je ne vois plus d’autres portes de sortie qu’une grande catastrophe pour nous sortir de cet enfer moderne. Elle se profile effectivement... avec de grandes douleurs pour nous tous en perspective.