Elisabeth Levy dans
sa vision réactionnaire droitarde a besoin de nier le changement
climatique, et surtout de nier le réel. Pour les gens de son acabit
rien n’existe en dehors du cadre national, exit donc la biosphère,
les animaux ou le changement climatique. C’est question sont trop
importante et vitale pour un cerveau trop étriqué, qui n’a que
pour cadre la réaction. Elle a beau, s’agiter, se tordre le
problème reste le même, mais elle se défendra bec et ongle pour
que rien ne change. Tout en caressent dans le sens du poile ce flux
de réactionnaire du c’était mieux avant. En bref c’est une
fasciste.